«  Soudain, pour notre petit fenouil,

Y’a tout qui se brouille, 

Y’a plus que la trouille. 

Il oublie ses amis dans cette poubelle de l’oubli,

Seul, seul, tout seul. 

Tellement seul, 

Qu’il ne voit pas, juste devant son nez, un petit être à ses pieds. 

Une perle noire avec de grands yeux comme des miroirs. 

Elle est belle comme…? Il ne sait pas. Mais elle est belle, ça il le sait ! 

Elle lui parle avec douceur: – N’aie plus peur. Je suis là. Avec toi. »