musique

Nouveau spectacle « Céleste » – photos

Photos de Fabrice Ravier

L’Étincelle // Maison du Quartier de la Jonction
  • Mercredi 25 septembre à 15h (première) et à 17h
  • Jeudi 26 septembre à 17h
  • Vendredi 27 septembre à 17h
  • Samedi 28 septembre à 15h et à 17h

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Le Pressoir // Promenade des Rêveries à Confignon
  • Dimanche 6 octobre à 11h et à 15h

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Salle du Grand-Salève // Veyrier
  • Dimanche 13 octobre à 15h

Équipe de création :

Texte et conception projet : Suzanne Forsell

Mise en scène: Mirko Verdesca

Musique : Michael Pellegrini

Illustrations : Sandy Tripet

Création lumières : David Kretonic

Sonorisation : Jean Keraudren

Costumes: Cinzia Fossati 

Couture : Elisabeth Louange Colle

Photographies : Fabrice Ravier

Sur scène:
Art du récit, chant, flûte à bec: Suzanne Forsell
Synthétiseurs, flûte, percussions: Michael Pellegrini
Illustration avec sable en live: Sandy Tripet

Avec les soutiens de:
Loterie Romande, Ville de Genève, Fonds Mécénat SIG, Ernst Göhner Stiftung, Ville de Carouge, USDAM, dons privés, TMG-Théâtre de Marionnettes de Genève. Collaborations externes: MQ Jonction – L’Etincelle (partenaire de création), Commune de Confignon, Commune de Veyrier.

Fenouilhero : portrait

Fenouilhéro est un jeune fenouil anthropomorphe.

Il ressent une tristesse profonde, mais ne comprend pas pourquoi.

Il se sent mal dans sa peau et est attaché à la croyance qu’il n’est pas aimé.

Tom la Tomate et Pat la Patate, qu’il croise tous les jours sur le chemin de l’école et à la récré, ne cessent de se moquer de lui.

Cela le conforte dans le rejet qu’il a de lui-même.

Dans « La Chanson de Fenouilhéro », qui a donné naissance au conte musical « Les Aventures de Fenouihéro », Fenouilhéro exprime le souhait d’être aimé pour ce qu’il est. Il réclame une reconnaissance de son authenticité. Le conte musical  raconte, en rimes, en prose et en chansons, le parcours initiatique de ce jeune fenouil humanisé.

Un livre jeunesse écrit par Suzanne Forsell, illustré par Amélie Dupré et édité par les Éditions Antipodes, sortira en librairie en automne 2023.

Suite à l’appel des Choux de Bruxelles, Fenouilhéro saute sur sa Sauterelle et part à l’Aventure. Seule la destination est connue et porte le nom d’une ville, Bruxelles.

– Pour la rime en -elle, précise l’auteure Suzanne Forsell.

Mais ça Fenouilhéro ne le sait pas… 😉

Au terme de ce voyage durant lequel il se fait des amis, il traverse des épreuves, en sort la « tête haute ».

À la fin de cette quête identitaire, il se connaît et « n’a plus la trouille » de ne pas être aimé, approuvé ou apprécié. Il n’y pense même plus, car il est aligné avec la partie la plus profonde son être.

De Fenouil-Zéro, il redevient Fenouil-Héros, et fait revivre le héros qu’il n’a jamais cessé d’être.

L’auteure Suzanne Forsell nous raconte: « Je me suis amusée avec ce personnage, que je trouve touchant et attachant. Mon souhait est d’inviter les enfants à reconnaître leurs qualités propres et apprendre à s’apprécier.  Je souhaite leur transmettre une chose essentielle : de  s’aimer pour ce qu’ils sont, avec leurs doutes, leurs peurs, leur blessures, et d’être à l’écoute de ce qu’ils ressentent. L’invitation est de ne pas attendre d’être approuvé par les autres pour se connaître.  Difficile pour des enfants qui ont eu des parents absents ou qui se trouvaient dans l’incapacité de leur offrir un sentiment de sécurité et l’assurance de leur amour. C’est ma façon poétique de dire aux enfants : « Aimez-vous ! « . Et mon souhait est que les enfants, qui par moment se sentent comme Fenouilhéro, des mal-aimés, retrouvent le pouvoir de s’estimer et de s’aimer sans conditions, parce que chacun de nous est unique, et chacun de nous enrichit le monde. »

Ma Vie Rêvée Chanson

Ecoutez la chanson Ma vie rêvée de l’album Ile Mazik. 

Album écrit et composé par Suzanne Forsell et arrangé par Dorian Fretto, Mathieu Karcher, Tom Mendy / Titres 4,7 et 9 composés avec Samy Dib / « Chacun son prénom » : paroles et musique  de Stéphanie Bonhomme-Stachnick / Enregistrements, mixage et mastering : Marc Staedler au LAB studio Etoy

Illustration : Ben Marchesini

Graphisme : studiografik.ch

Suzanne Forsell : voix / Dorian Fretto : batterie, percussions, vibraphone, drum programming (Biscotto), choeurs / Mathieu Karcher : guitares, banjo, voix La Petite Amarante, drum programming (Rap ta Karott), choeurs / Tom Mendy : contrebasse, guimbarde, voix Le Chevalier Rutabaga, choeurs

Remerciements chaleureux pour leur soutien à la Ville de Genève – Département de la culture et de la transition numérique, la Fondation suisse pour la promotion et le soutien des musiciennes et musiciens professionnels, la Ville de Carouge – Service des affaires culturelles et de la communication 

Avec les versions instrumentales ! 

 Booking : info@zikids.ch

©Zikids

Interview Sandy Tripet

Création du story board, construction décor et marionnettes, manipulation pour le clip « Le Dentiste Détective »

  • L’inspiration

D’où t’es venue l’inspiration?

En premier lieu, j’ai beaucoup écouté la chanson afin de faire travailler mon imaginaire. Mais le point de départ a été inspiré par une idée de Suzanne qui est la porteuse du projet. Elle avait envie de quelque chose de filmé depuis le haut sur un plan horizontal. C’était son seul souhait, et je la remercie de m’avoir laissé très libre d’inventer et de faire ce que je voulais par la suite. 

  • La réalisation du story board pour le clip

Comment as-tu conçu le story board?

Afin de concevoir un scénario, j’ai d’abord découpé l’histoire en plusieurs parties selon les rythmes de la chanson, et les apparitions et actions-clefs des personnages. J’ai ensuite contacté le réalisateur et nous avons échangé sur la manière dont chaque personnage apparaîtrait à l’écran. Par exemple, pour l’apparition du dentiste, nous avons décidé de ne pas le dévoiler immédiatement, mais de commencer par un gros plan sur son oeil derrière sa loupe. Après cela j’ai conçu les images du story board que j’ai transmises au réalisateur et à Suzanne. Nous y avons encore fait quelques modifications ensemble afin d’arriver à un résultat satisfaisant pour tous.

Comment en es-tu venue à l’idée des bonbons?
J’ai cherché longtemps dans quel contexte allaient évoluer les marionnettes de Panais et Navet et du Dr Endive, qui sont tous des légumes. Ils sont donc considérés comme des aliments sains du point de vue des parents et des dentistes. Mais j’ai pensé aux enfants et aux légumes de la marmite de l’escalade qu’ils préfèrent assurément aux vrais légumes. J’ai donc décidé de prendre de contrepieds et de faire évoluer tout ce petit monde dans un univers artificiel de sucre et de bonbons. Je voulais qu’il y ait un côté magique et irréel, avec beaucoup de couleurs vives. Un monde merveilleux pour les enfants, même s’il est peu conseillé pour la santé des dents. 

  • La réalisation du décor

Quelles ont été les étapes de la réalisation du décor?
Une fois le contexte établi, tout commence toujours avec des dessins. C’est seulement lorsque j’ai décidé de ce que je vais faire sur le papier, que  je commence la réalisation du décor. Durant la phase de réflexion, j’ai collecté petit à petit des éléments divers, dont des vieilles souches de plantes de mon jardin. Je les ai transformées en arbres à bonbons, et bien sûr, j’ai sillonné les magasins de confiseries. Ensuite, j’ai construit la structure. C’est une planche montée sur des tréteaux et dans laquelle j’ai découpé un parcours et des sillons afin d’y faire circuler les marionnettes. Il a aussi fallu fabriquer des éléments comme la maison du dentiste, le dentier géant, la chambre de panais et navet, l’écran à théâtre d’ombres ou des pâtisseries artificielles. Ça m’a pris beaucoup de temps, mais j’ai vraiment aimé confectionner tout ça.

Quelles ont été les étapes de la réalisation des marionnettes?
Là aussi j’ai commencé par réaliser des dessins pour trouver le caractère des personnages. Puis, j’ai assez rapidement décidé de la technique avec laquelle j’allais les fabriquer. Ce sont des marottes, c’est-à-dire qu’elles sont montées sur un bâton et sont constituées de papier mâché. Elles sont manipulées par-dessous et les marionnettistes sont cachées sous la planche qui sert de décor. Il a fallu fabriquer le dentiste et le navet en deux tailles différentes. Panais, lui, a eu droit à trois exemplaires dans des positions et tailles diverses pour l’adapter aux scènes qui devaient être tournées. Quant à Madame Carie, c’est une simple silhouette de papier, et son chien méchant a une mâchoire articulée. 

  • Tournage du clip

Quelles contraintes sont apparues pendant le tournage du clip?
Nous avons tourné dans un appartement, et la lumière changeait durant la journée. Il a fallu s’y adapter. Il y avait aussi des éléments non souhaités à l’image comme un interrupteur apparent sur le mur du fond que le réalisateur a dû gommer au montage. Mais la plus grosse contrainte a été le temps de réalisation, car nous avons tourné l’intégralité du clip en deux jours, ce qui est très court. Il y a de petits défauts, car parfois on voit une main ou un pied de tréteau, mais nous avons décidé de tourner ce clip de façon artisanale et ces défauts sont assumés.

Pour la manipulation des marionnettes?
La manipulation en elle-même n’était pas compliquée, mais il y avait beaucoup éléments à manipuler en même temps.

Est-ce que ces contraintes pendant le tournage t’ont poussé à plus de créativité?
Les contraintes poussent à la créativité ! C’était très acrobatique sous la table ! Nous étions deux à manipuler, mais comme il y avait beaucoup de choses à faire bouger, j’ai dû inventer des petits systèmes invisibles pour relier certains éléments entre eux, afin de réussir à en manipuler plusieurs d’une seule main. Heureusement nous étions deux pour certaines scènes.

Comment avez-vous procédé pour filmer l’œuvre?
Vincent, le réalisateur, a filmé en travelling. Nous avions prévu une planche parallèle afin de faire rouler un petit skate sur lequel était fixée la caméra. Parfois il a filmé avec la caméra au poing.

 

 

Philippe Dunant, créateur de « Bestiole »

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Philippe Dunant – Atelier phluux, créateur de « Bestiole », l’insecte robotisé qui apparaît dans le clip « Les Arbres Amoureux » du ZikiZik Band. Une production de la Cie Zikids.

 » Assembler des éléments mécaniques autour d’un moteur pour créer un mouvement, programmer un microcontrôleur et imprimer les pièces nécessaires pour maintenir le tout en laissant les branchements à vue. Ce n’est normalement que la première étape de conception d’un robot. Le prototype à partir duquel on va pouvoir concevoir le design final en élaborant l’enveloppe destinée à cacher la mécanique, à protéger l’électronique et amener une apparence plus réaliste.

Lorsque Suzanne Forsell m’a demandé de fabriquer une bestiole qui bat des ailes pour son prochain clip vidéo, j’ai bien sûr commencé par la première étape et fabriqué un prototype fonctionnel, mais il est vite apparut qu’un habillage ne serait pas nécessaire : la bestiole était déjà là, presque complète malgré l’apparente fragilité de son système. Un driver en guise de tête, des yeux en écrous et une carapace en PCB. On s’est vite attaché à ce prototype qui ne demandait qu’à assumer sa nature mécanique comme pour nous dire d’arrêter de cacher les choses.

La tendance du design actuel est de chercher à nous faire oublier ce qui compose l’essentiel d’une machine et de le rendre inaccessible à l’utilisateur. Comment être créatif, inventer et développer sa personnalité en utilisant des outils dont le fonctionnement nous échappe en grande partie ? « Bestiole » est là pour nous rappeler l’importance de l’improvisé, du sur mesure et du perfectible dans un monde où les outils et accessoires du quotidien sont produits en série et bien tristement semblables aux autres. 

Grâce à la magie de la vidéo et aux talents du réalisateur Vincent Thaon, la bestiole a pris son envol entre les arbres, sans maquillage, avec la fragilité d’un insecte et l’authenticité d’un être vivant, unique. »

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Fenouilhéro – Les acteurs

Photo : Rene Torres

Avec Mathilde Soutter, Steven Matthews, Suzanne Forsell

Suzanne Forsell, initiatrice du projet, écriture, musique, interprétation

Suzanne Forsell fonde la Compagnie Zikids en 2015.

Auteure, compositrice, interprète d’histoires et de chansons pour les enfants, elle est également comédienne. Elle travaille  aussi en tant que voix off pour la RTS et la radio. Dès l’âge de 8 ans, elle est en contact direct avec le monde du théâtre et de la musique, et elle participe à l’enregistrement de pièces radiophoniques. 

Après avoir obtenu une maturité latine au Collège Calvin (Genève, Suisse), elle part en Italie (Florence) suivre une formation théâtrale professionnelle à La Bottega Teatrale di Firenze, dirigée par Vittorio Gassman. Après sa formation de comédienne, elle vit à Rome, y travaille en tant que comédienne pour la télévision, la radio (pièces radiophoniques) et le théâtre. Pendant ces années romaines, elle poursuit ses activités en tant comédienne en Suisse Romande, en travaillant au Théâtre de Carouge avec Pierre Naftule, à la Comédie de Genève avec Catherine Eger, plus tard, dans le spectacle « Farces » mis en scène par Jean-Louis Hourdin et avec les masques de Wernewr Strub (tournée en Suisse, France et Belgique). Au Théâtre de Vidy (Lausanne, Suisse), elle  est engagée par le metteur en scène allemand Hansgünther Heyme pour une tournée qui passait par la Suisse, puis l’Allemagne et l’Ouzbekistan. A Genève, elle travaille avec Valérie Poirier pour une création théâtrale mise sur pied avec la comédienne Brigitte Raul. Elle est la partenaire de Ahmed Belbachir pour « Rousseau Misanthrope », spectacle dont il assure également la mise en scène. Puis ils se retrouvent de nouveau en duo sur scène, à Fribourg, sous la direction d’Angela Bürger pour la création « Blue Century ». Plus tard, dans un tout autre registre, elle campe le rôle de Sharla dans « Killer Joe » au TPR de La Chaux-de-Fonds dans une mise en scène de Gino Zampieri, aux côtés de Robert Bouvier.

En 2012, elle commence l’écriture de paroles de chansons et d’histoires qui s’adressent plus particulièrement à la jeunesse. Dans l’écriture des paroles, elle porte un soin particulier aux sons des mots et s’inspire des virelangues, comptines populaires, et d’artistes tels que Boby Lapointe, Thomas Fersen ou Nino Ferrer. Le travail de la langue par les rimes, les jeux de mots et avec les mots, les textes de types comptines sont une occasion pour participer au développement du langage chez les enfants au moment de leur entrée à l’école.

Suzanne souhaite offrir aux enfants non seulement de la belle musique, mais aussi de la musique qui leurs donne envie de bouger et de danser. Pour cela elle s’inspire de l’enseignement suivi lors de sa formation post-graduée à l’Institut Jaques-Dalcroze, dont elle est par ailleurs certifiée (CAS en musique et mouvement).

Lors de ses concerts, elle incarne Ziki, la chanteuse du ZikiZik Band, le groupe de musique pour les enfants qu’elle a fondé en 2016. Par ses histoires chantées et contées, elle invite les enfants à voyager dans son monde poétique.

Suzanne est maman de deux garçons, Elie (12 ans) et Noé (17 ans). Elle est née à Genève d’une maman italienne et d’un papa suédois.

En 2017, elle a été lauréate d’une Bourse à la création de la Ville de Genève pour son projet ZikiZik, la Zik pour les Enfants, et en 2020, d’une Bourse SSA pour les auteurs et autrices des arts du spectacle. 

Elle a le projet d’écrire une version pour album jeunesse des Aventures de Fenouilhéro, en collaboration avec une illustratrice. 

Mathilde Soutter – jeu,violon, chant 

Mathilde intègre l’école professionnelle de Théâtre Serge Martin à Genève en 2014. Lors de sa formation, elle joue dans les spectacles mis en scène par Sarah Marcuse, Yvan Rihs, Julien George et Serge Martin. Parallèlement à son goût pour le théâtre, elle suit pendant dix ans des cours de violon classique avec Dalibor Hrebec et s’initie au jazz avec Philippe Koller. En 2018, elle collabore avec la compagnie Porte-Bagage, la cie Bleu café et le Théâtre Spirale. On la voit notamment dans le Choeur des femmes, mis en scène par Michele Millner au Théâtre de la Parfumerie à Genève. Elle signe sa première mise en scène avec un spectacle jeune public, La Tente de Claude Ponti, créé en 2018 au Festival des Granges à La Chaux.

En 2019, elle joue dans L’invisible chemin de Sarah Marcuse, présenté en Nouvelle Calédonie, avant de revenir au Théâtre Pitoeff à la rentrée 2020. On la découvre également aux côtés de Steven Matthews dans le spectacle jeune public Tu comprendras quand tu seras grand au Théâtre des Marionnettes de Genève. Elle fait partie du collectif C com Comédie dont la prochaine pièce Un Ours et La demande en mariage se jouera en mars 2020 au Théâtricul de Chêne-Bourg.

En 2020, elle arpentera la Suisse et la Belgique avec If, une odyssée verte, la dernière pièce d’une trilogie sur l’Odyssée, écrite par Domenico Carli, en compagnie de la troupe de théâtre itinérant les Artpenteurs. 

Steven Matthews – jeu, guitare, chant

Après de nombreuses années de travail en crèche, Steven Matthews se lance dans des études de théâtre à l’Ecole Serge Martin à Genève et obtient son diplôme en juin 2014. 

Il joue dans de nombreux spectacles dont « Feydeau à Moto » de la Compagnie Confiture à Pitoeff en 2015 repris au parc de la Mairie de Vandoeuvre en 2016, « Eldorado » de la Compagnie Spirale joué au Théâtre du Loup, « politique étrangère » de la compagnie Lesarts, « Eclipse » de Angélique Friant qui se jouera en janvier 2017 au Théâtre des Marionnettes de Genève. 

En 2016, il fonde la Compagnie Don’t stop me now et reçoit une bourse de la ville de Genève pour le spectacle « La princesse est le chevalier ».

Au cinéma il a incarné Fritz Joss dans le film de Jakob Berger adapté du roman de Jaques Chessex, « Un juif pour l’exemple » et on le verra dans le nouveau film de Fred Baillif, « la preuve scientifique de l’existence de dieu ».

Il pratique l’improvisation théâtrale sous de nombreuses formes notamment dans le spectacle du Bouquet réunissant l’élite amateur des joueurs de la FIG. Il a suivi de nombreuses formations avec Julien Cotterau (Cirque du Soleil), Roberto Sierra, FX Fièvez, Yvan Richardet et Christian Baumann de la compagnie Lesarts qu’il accompagne musicalement dans son spectacle « Contes spontanés ».

Passionné de musique il pratique la guitare, le piano et le chant et compose ses chansons dont un album est en cours de création.

Les Aventures de Fenouilhéro

La Compagnie Zikids propose un conte musical amusant et original à partir de 6 ans.

Fenouilhéro, un jeune fenouil raillé par Pat la patate et Tom la tomate, reçoit un étrange appel. Ni une ni deux, il  grimpe sur le dos de sa Sauterelle et … en route pour Bruxelles ! Au fur et à mesure des aventures rocambolesques qu’il va vivre avec ses amis, il prendra conscience que quand on s’aime pour ce qu’on est, on aime les autres pour ce qu’ils sont.

Texte, paroles et musique : Suzanne Forsell

Mise en scène : Julie Burnier

Scénographie : Valeria Pacchiani

Création lumière : David Kretonic

Costumes : Anna Pacchiani

Collaboration musicale : Samy Dib

Construction décors : Aldo Grandjean 

Administration : Eva Kiraly

Photos : Rene Torres

Captation : Janice Siegler

Avec :

Jeu, chant : Suzanne Forsell
Jeu, guitare, chant : Steven Matthews
Jeu, violon, chant : Mathilde Soutter

Avec le soutien de : Loterie Romande, Ville de Genève, Paul Schiller Stiftung, Fondation Ernst Göhner, Fondation Jürg-George Burki, Fondation Philantropique Famille Sandoz, Fonds culturel de la Société suisse des auteurs (SSA) et de l’association professionnelle t., Fonds d’encouragement à l’emploi des intermittent.e.s genevois.es (FEEIG), La Traverse, Ville de Carouge

Remerciements  : TMG – Théâtre des Marionnettes de Genève, Le Spot – Maison de Quartier de Chêne-Bourg, Poche / GVE

Copyright : Studiografik.ch

Présentation du spectacle sur :